Au moment de rentrer dans la chambre d’un patient, plateau dans une main, je frappe, j’entre… et la poignée de la porte se glisse dans ma blouse. Avec l’élan, les pressions lâchent et je me retrouve dans la chambre la blouse grande ouverte en petite culotte et soutien gorge!!! Le patient semblait aller beaucoup mieux!!! (pour info cette histoire m’est arrivée à mes débuts lorsqu’il n’y avait pas encore les tuniques 🙂
madamascar
il a du avoir une montée de tension certainement , et il a eu son phantasme exaucé , c’est bien connu , tous les hommes rêvent des dessous des infirmières, quant à moi en 1968 et oui la mode était extrêmement courte , et je devais parfois monter sur une chaise près des patients pour atteindre le haut des pieds à perfusions pour exercer une pression sur les poches de transfusions , à l’époque il n’y avait pas de compresseur , tu imagines , en salle commune de 8 lits occupés par des hommes , ils étaient contents les pauvres
caroline
et bien bravo les filles!!! je comprends maintenant d’où vient notre fameuse réputation loool
N’empêche je suis contente de ne pas avoir connu cette époque car vu les pervers qu’on a des fois aujourd’hui, je n’ose imaginer comment c’était avant!!!
madamascar
@ caroline: a cette époque j’avais 20 ans et on parlait moins d’histoires perverses , on n’y pensait même pas , sinon je ne me serais jamais sentie en sécurité
glooma
c’est pareil ma blouse se prend svt dans les poignées mais heureusement pas au point de s’ouvrir!!!